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Le Blog d'ILYZA

13 octobre 2012

« La meilleur odeur est celle du pain, le

« La meilleur odeur est celle du pain, le meilleur goût, celui du sel, le meilleur amour celui des enfants »

[Graham GREENE .]

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13 octobre 2012

« J’aurais voulu être professeur de vie. J’aurais

« J’aurais voulu être professeur de vie. J’aurais appris aux enfants, aux adultes aussi, tout ce qui n’est pas écrit dans les livres.

Je leur aurais appris les choses délicates de la vie :

– Qu’un amour entretenu ne s’use pas ;

– Que la seule liberté qui vaille la peine d’être vécue est la liberté d’être ;

– Qu’il est important de prendre le temps de regarder la fuite ou l’immobilité d’un nuage, de suivre le vol d’un oiseau, de se laisse surprendre par l’infini des choses de la vie ;

– Qu’il est important d’apprendre à s’aimer, à se respecter, à se définir ;

– Qu’il est encore plus important de ne pas se laisser enfermer dans les jugements, de résister aux rumeurs, de ne pas se laisser polluer par les messages toxiques qui peuvent venir de ceux qui prétendent nous aimer ou mieux savoir pour nous ;

– De ne pas se laisser entraîner par les idées toutes faites, par les modes, ou immobiliser par les conditionnements qui tentent de s’imposer à nous ;

J’aurais essayé de leur apprendre à remettre en cause leurs croyances quand elles sont devenues des certitudes terroristes, pour laisser plus de place à l’imprévisible de la vie.

Professeur de vie, quel beau métier à inventer. »

[Jacques Salomé .]

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13 octobre 2012

"Les maisons sont comme les gens, elles ont leur

"Les maisons sont comme les gens, elles ont leur âge, leurs fatigues, leurs folies.

Ou plutôt non: ce sont les gens qui sont comme des maisons, avec leur cave, leur grenier, leurs murs et, parfois, de si claires fenêtres donnant sur de si beaux jardins. "

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13 octobre 2012

« Si on ne voulait qu'être heureux, cela serait

« Si on ne voulait qu'être heureux, cela serait bientôt fait.

Mais on veut être plus heureux que les autres, et cela est presque toujours difficile parce que nous croyons les autres plus heureux qu'ils ne sont.»

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13 octobre 2012

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13 octobre 2012

La vie est belle...mais elle est courte ..ne la

La vie est belle...mais elle est courte ..ne la gâcher pas en regardant en arrière ...ni en pensant trop à nos lendemains...vivons le moment présent c'est notre piste d'action et notre vrai trésor ♥

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5 octobre 2012

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4 octobre 2012

Une douce leçon de patience

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Un taxi à New York a écrit :

Je suis arrivé à l'adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué. 

« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.

Après une longue pau

se, la porte s'ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.

À côté d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait comme si personne n'avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.

Il n’y avait pas d'horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu'à la voiture? » dit-elle. J'ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.

Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.

Elle n'arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n'est rien », je lui ai dit « J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »

« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m'a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »
« Ce n'est pas le plus court chemin », répondis-je.

« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »

J'ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n'ai pas de famille » reprit-elle d'une voix douce. « Le docteur dit que je n'en ai plus pour très longtemps. » J'ai discrètement arrêté le compteur.

« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m'a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d'ascenseur.

Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d'un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.

Parfois, elle me demandait de ralentir en face d'un bâtiment particulier ou dans un coin et s'asseyait le regard perdu dans l'obscurité, sans rien dire.

Lorsque le soleil commença à rejoindre l'horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».

Nous avons roulé en silence à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.

Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.

J'ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.

« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.
« Rien » lui dis-je
« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.
« Il y aura d'autres passagers, » ai-je répondu.
Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.
« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d'une vie qui se termine.

Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J'ai conduit sans but perdu dans mes pensées.

Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»
4 octobre 2012

la force dans l'ame

"Les personnes les plus formidables sont celles qui ont connu l'échec, la souffrance, le combat intérieur, la perte et qui ont su surmonter leur détresse. Ces personnes ont une sensibilité, une compréhension de la vie qui les remplit de compassion, de douceur et d'amour...La bonté ne vient jamais de nulle part... "

[ELISABETH KÜBLER-ROSS .]

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4 octobre 2012

le bonheur

Les vrais hommes n'aiment pas la plus belle femme du monde.

Ils aiment celle qui rendra leur monde plus beau...

 

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